Fresque allégorique de Prunecken

CROQUIS D’UNE FRESQUE ALLÉGORIQUE à Prunecken (Tyrol), début du XVIème siècle.

On voit dans un vieux bâtiment de Prunecken, dans le Tyrol, une fresque naïve qui paraît remonter aux premières années du XVIème siècle. Ce n’est plus seulement un crucifix symbolique, c’est plutôt un tableau allégorique, représentant, d’une manière sensible, les effets salutaires de la Rédemption, et les fruits de vie produits par l’arbre de la Croix.

Au centre de la fresque, le Sauveur cloué à l’instrument de son supplice; aux quatre extrémités de la croix, quatre mains tournées vers quatre groupes de personnages. Le groupe de droite représente la chute originelle et ses suites désastreuses. Ève revêtue d’une tunique de peau ; derrière elle, le serpent, auteur de sa désobéissance, et la mort prix de sa désobéissance. En avant, une femme, les yeux bandés, à l’étendard brisé ; c’est la Synagogue, la Synagogue vaincue, anéantie par la Passion de Jésus-Christ. Voyez plutôt cette main qui, partant de la croix, la frappe d’une épée meurtrière. A gauche l’Eglise, qui prend naissance, au jour où la Synagogue expire ; à ses pieds les symboles des quatre évangélistes ; dans sa main une coupe où elle reçoit le sang du Sauveur; sur son front une couronne que soutient une main, issue
de la Croix. Derrière l’Eglise, la Vierge Marie, la seconde Eve, la Corédemptrice du genre humain, et derrière Marie, suspendu sans vie à la branche d’un arbre, le serpent dont elle a brisé la tête de son pied virginal.

Au bas du tableau, un bras vigoureux partant de la croix brandit un marteau ; ce marteau brise les portes des limbes où les justes attendaient la Rédemption promise.

Au sommet de la croix une main tient une clef qui ouvre la porte du Ciel.

Cette naïve peinture n’était-elle pas pour les bons Tyroliens de Prunecken le cours de théologie le plus clair et le plus démonstratif sur la Passion et les fruits de la Passion ?

Comme on comprend, en présence de cette fresque, la vérité de cette parole de saint Cyrille : « Ce que touche notre main est une figure des choses intellectuelles, et les exemples empruntés à l’ordre matériel fournissent une démonstration très évidente des choses spirituelles, accuratissimam spiritualium demonstrationem.

Croquis d'une fresque allegorique de Prunecken (Tyrol) XVIème siècle

Croquis d’une fresque allegorique de Prunecken (Tyrol) XVIème siècle

fermer la fenetre

Flèche d'Or

Recevez gratuitement le recueil "Flèche d'Or" des plus belles prières et dévotions au Coeur immaculé de Marie et au Coeur Sacré de Jésus.




Les anges, la création de l’homme, le péché originel

Les Anges sont de purs esprits que Dieu a créés pour sa gloire et pour son service.

L’homme est une créature raisonnable, composée d’une âme et d’un corps.
L’âme est un esprit créé à l’image de Dieu et pour être unie à un corps, et qui ne périra jamais; c’est pourquoi elle est immortelle. L’âme est immortelle parce que l’âme est un esprit et que les esprits ne meurent pas.

Dieu créa nos premiers parents Adam et Ève dans un état de grâce et de bonheur dans le Paradis terrestre. Par leur désobéissance, nos premiers parents perdirent la vie surnaturelle et le droit au bonheur du ciel. Ils perdirent en même temps toutes les faveurs extraordinaires que Dieu leur avait accordées. Le péché d’Adam communiqué à ses descendants et que nous apportons tous en naissant s’appelle le péché originel.

La Sainte Vierge a été préservée du péché originel, par le privilège de son Immaculée Conception.

 

fermer la fenetre

Flèche d'Or

Recevez gratuitement le recueil "Flèche d'Or" des plus belles prières et dévotions au Coeur immaculé de Marie et au Coeur Sacré de Jésus.




Un petit Enfant nous est né

Le temps de Noël

Entrons donc, chrétiens, dans cette vue de l’Église, et associons-nous à sa joie.Ce n’est plus maintenant comme pendant l’Avent, le temps de la tristesse et du deuil.

Jésus Marie Joseph Priez pour nous!

Un petit enfant nous est né (Is. IX, 6). Celui que nous attendions depuis si longtemps, dans les soupirs et les larmes, car sans lui nous ne pouvions espérer de salut, il est venu enfin!
Il est venu pour habiter parmi nous, pour guérir tous nos maux, pour nous enrichir de ses biens et se donner lui-même à nous.

Que notre joie soit donc aussi pleine qu’a été pénible l’attente.

Assez tôt viendra le jour où ce doux et aimable Enfant qui naît aujourd’hui, devenu homme, sera livré à toutes les douleurs: nous lui compatirons alors.

Présentement, réjouissons-nous de sa venue, adorons-le avec Marie et Joseph, chantons auprès de son berceau avec les anges, contemplons avec les bergers ses amabilités infinies, et avec les mages, offrons-lui l’or de nos bonnes oeuvres.

Ces quarante jours passeront vite. Acceptons à coeur ouvert cette joie que les anges apportent du Ciel à la terre.

Mais souvenons-nous qu’elle n’est apportée qu’aux hommes de bonne volonté. Cette joie est donc tout spécialement le partage des chrétiens fidèles. Quant aux pécheurs, ils peuvent aussi y avoir part; mais c’est à la condition qu’ils renonceront résolument à leur vie passée et qu’ils embrasseront une toute opposée. Car si la paix est promise aux hommes de bonne volonté, par contre il est écrit qu’il n’y aura pas de paix pour l’impie (Is. XLVIII, 22).

(Somme du prédicateur – P Grenet – Le temps de Noël – tome premier – p340)

 

 

Minuit chrétiens

Minuit ! Chrétiens, c’est l’heure solennelle
Où l’homme Dieu descendit jusqu’à nous,
Pour effacer la tache originelle
Et de son père arrêter le courroux :
Le monde entier tressaille d’espérance
A cette nuit qui lui donne un sauveur
Peuple, à genoux ! Attends ta délivrance,
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !
Noël ! Noël ! Voici le Rédempteur !

De notre foi que la lumière ardente
Nous guide tous au berceau de l’enfant.
Comme autrefois, une étoile brillante
Y conduisit les chefs de l’Orient.
Le Roi des Rois naît dans une humble crèche,
Puissants du jour fiers de votre grandeur,
A votre orgueil c’est de là qu’un Dieu prêche,
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !
Courbez vos fronts devant le Rédempteur !

Le Rédempteur a brisé toute entrave,
La terre est libre et le ciel est ouvert
Il voit un frère où n’était qu’un esclave
L’amour unit ceux qu’enchaînait le fer,
Qui lui dira notre reconnaissance ?
C’est pour nous tous qu’il naît, qu’il souffre et meurt :
Peuple, debout ! Chante ta délivrance,
Noël ! Noël ! Chantons le Rédempteur !
Noël ! Noël ! Chantons le Rédempteur !

Un petit enfant nous est né!

La Nativité du Sauveur

Un petit enfant nous est né…

Un petit enfant nous est né… Il sera appelé Admirable.

ENFANT JÉSUS

Mon enfant, donne-moi ton coeur.
Ô mon divin Rédempteur, plus vous vous êtes abaissé, en vous faisant homme et en naissant enfant comme nous, plus vous avez fait éclater la grandeur de votre amour envers nous afin de vous attacher nos coeurs. (Saint Alphonse)

 

Avec Marie immaculée, attendre Noël dans la joie

Dans l’Ancien Testament, les prophètes et les sages avaient entrevu ce que serait la merveille de l’Évangile. Plus qu’aucun être, la Vierge Marie avait, peinte sur la toile d’attente de son esprit, avant même de le porter dans ses entrailles par sa maternité, la figure, l’image du Dieu Tout-Puissant, le Fils de Dieu bien-aimé. Elle pourrait lui donner un corps, après avoir si bien conçu en son esprit ce qu’Il serait dans sa nature intime. La Vierge Marie, ainsi, portait en son sein, mais aussi en son âme, la merveilleuse gloire et beauté de Jésus enfant.

Noël, c’est l’annonce du Ciel. Noël, c’est l’annonce de la bonne nouvelle éternelle. Noël, c’est comme le pressentiment de notre salut. Quand nous voyons les enfants si souriants, si pleins d’admiration et de joie, avec leurs parents, devant la crèche, les yeux comme éblouis par le spectacle de cette tendresse divine de Jésus pour les hommes, nous comprenons bien que, dans l’âme de nos enfants, il y a une joie qui n’est pas encore entamée ni blessée par les duretés de la vie. Cette joie de nos enfants, c’est l’annonce de notre propre joie à tous dans le Ciel  ! (Georges de Nantes)

cf « Avec Marie immaculée, attendre Noël dans la joie » (Abbé Georges de Nantes – Extraits du sermon du 23 décembre 1979)

 

 Le cardinal Luciani (futur Pape Jean-Paul Ier) arriva à Fatima le dimanche 10 juillet 1977 pour présider la concélébration solennelle, sur l’immense esplanade, où la statue de la Sainte Vierge fut portée en procession sur son coussin de fleurs, précédée du cortège des diacres, des prêtres et des évêques. (…) Dans son homélie, le cardinal rappela les principaux faits dont on célébrait le soixantième anniversaire, et en appliqua les leçons à l’actualité pleine de menaces  : «  (…) Frères et sœurs, des nuages noirs de tempête passent au-dessus de l’humanité. Notre cœur est troublé. La Sainte Vierge a dit cependant aux enfants de Fatima, lors de l’apparition du 13 juillet  : “ À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera accordé au monde une période de paix. ” Que Notre-Dame de Fatima, par la grâce et la miséricorde de Dieu, et par les mérites de son Fils Jésus, nous obtienne le pardon et nous préserve des horreurs de nouvelles et terribles guerres. 

Victime d’Holocauste à l’Amour Miséricordieux

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face (1873 – 1897)

Offrande de moi-même comme Victime d’Holocauste à l’Amour Miséricordieux du Bon Dieu

O mon Dieu! Trinité Bienheureuse, je désire vous Aimer et vous faire Aimer, travailler à la glorification de la Sainte Eglise en sauvant les âmes qui sont sur la terre et (en) délivrant celles qui souffrent dans le purgatoire. Je désire accomplir parfaitement votre volonté et arriver au degré de gloire que vous m’avez préparé dans votre royaume, (Jn 14,2) en un mot, je désire être Sainte, mais je sens mon impuissance et je vous demande, ô mon Dieu! d’être vous-même ma Sainteté .(Jn 3,16)

Puisque vous m’avez aimée jusqu’à me donner votre Fils unique pour être mon Sauveur et mon Epoux, les trésors infinis de ses mérites sont à moi, je vous les offre avec bonheur, vous suppliant de ne me regarder qu’à travers la Face de Jésus et dans son Coeur brûlant d’Amour .

Je vous offre encore tous les mérites des Saints (qui sont au Ciel et sur la terre) leurs actes d’Amour et ceux des Saints Anges; enfin je vous offre, ô Bienheureuse Trinité! L’Amour et les mérites de la Sainte Vierge, ma Mère chérie, c’est à elle que j’abandonne mon offrande la priant de vous la présenter. Son divin Fils, mon Epoux Bien-Aimé, aux jours de sa vie mortelle, nous a dit: « Tout ce que vous demanderez à mon Père, en mon nom, il vous le donnera! » (He 5,7 Jn 16,23) Je suis donc certaine que vous exaucerez mes désirs; je le sais, ô mon Dieu! (plus vous voulez donner, plus vous faites désirer). Je sens en mon coeur des désirs immenses et c’est avec confiance que je vous demande de venir prendre possession de mon âme. Ah! je ne puis recevoir la Sainte Communion aussi souvent que je le désire, mais, Seigneur, n’êtes-vous pas Tout-Puissant?… Restez en moi, comme au tabernacle, ne vous éloignez jamais de votre petite hostie……
Je voudrais vous consoler de l’ingratitude des méchants et je vous supplie de m’ôter la liberté de vous déplaire, si par faiblesse je tombe quelquefois qu’aussitôt votre Divin Regard purifie mon âme consumant toutes mes imperfections, comme le feu qui transforme toute chose en lui-même….

Je vous remercie, ô mon Dieu! de toutes les grâces que vous m’avez accordées, en particulier de m’avoir fait passer par le creuset de la souffrance. C’est avec joie que je vous contemplerai (Sg 3,5-6 Mt 24,30) au dernier jour portant le sceptre de la Croix; puisque vous avez daigné me donner en partage cette Croix si précieuse, j’espère au Ciel vous ressembler et voir briller sur mon corps glorifié les sacrés stigmates de votre Passion… (Jn 20,27 Ga 6,17)

Après l’exil de la terre, j’espère aller jouir de vous dans la Patrie, mais je ne veux pas amasser de mérites pour le Ciel, je veux travailler pour votre seul Amour, dans l’unique but de vous faire plaisir, de consoler votre Coeur Sacré et de sauver des âmes qui vous aimeront éternellement.
Au soir de cette vie je paraîtrai devant vous les mains vides car je ne vous demande pas, Seigneur, de compter mes oeuvres. Toutes nos justices ont des taches à vos yeux. (Is 64,6) Je veux donc me revêtir de votre propre Justice et recevoir de votre Amour la possession éternelle de Vous-même. Je ne veux point d’autre Trône et d’autre Couronne que Vous, ô mon Bien-Aimé!……
A vos yeux le temps n’est rien, un seul jour est comme mille ans, vous pouvez donc en un instant me préparer à paraître devant vous… (Ps 90,4)

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la sainte Face

Notre Seigneur et Sainte Thérèse morts par amour l’un pour l’autre.


Afin de vivre dans un acte de parfait Amour je m’offre comme victime d’holocauste à votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, (Jn 7,38) laissant déborder en mon âme les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en vous et qu’ainsi je devienne Martyre de votre Amour, ô mon Dieu!…

Que ce martyre après m’avoir préparée à paraître devant vous me fasse enfin mourir et que mon âme s’élance sans retard dans l’éternel embrassement de Votre Miséricordieux Amour…
Je veux, ô mon Bien-Aimé, à chaque battement de mon coeur vous renouveler cette offrande un nombre infini de fois, jusqu’à ce que les ombres s’étant évanouies je puisse vous redire mon Amour dans un Face à Face Eternel!… (Ct 4,6 1Co 3,12)

Marie, Françoise, Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face

 

 

fermer la fenetre

Flèche d'Or

Recevez gratuitement le recueil "Flèche d'Or" des plus belles prières et dévotions au Coeur immaculé de Marie et au Coeur Sacré de Jésus.




Prière de Sainte Bernadette à Marie

Prière de Sainte Bernadette à Marie

Bernadette Soubirous

Que mon âme était heureuse, ô bonne Mère, quand j’avais le bonheur de vous contempler !
Que j’aime à me rappeler ces doux moments passés sous vos yeux pleins de bonté et de miséricorde pour nous.
Oui, tendre Mère, vous vous êtes abaissée jusqu’à terre pour apparaître à une faible enfant et lui communiquer certaines choses, malgré sa grande indignité. Aussi, quel sujet d’humilité n’a-t-elle pas.
Vous, la Reine du Ciel et de la terre,avez bien voulu vous servir de ce qu’il y avait de plus faible selon le monde.
Ô Marie, donnez à celle qui ose se dire votre enfant cette précieuse vertu d’humilité.
Faites, ô tendre Mère, que votre enfant vous imite en tout et pour tout,
en un mot que je sois une enfant selon votre Cœur et Celui de votre cher Fils.

Sainte Bernadette Soubirous (7 janvier 1844 – 16 avril 1879)

Acte de consécration au Coeur Immaculé de Marie

Prière rédigée par sœur Lucie, inspirée par les révélations et l’esprit de Fatima

Acte de consécration au coeur immaculé de Marie

Prière rédigée par sœur Lucie, inspirée par les révélations et l’esprit de Fatima

« Ô Vierge, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre entièrement à votre Cœur Immaculé avec tout ce que je suis et tout ce que je possède. Prenez-moi sous votre maternelle protection, défendez-moi des périls, aidez-moi à vaincre les tentations qui me sollicitent au mal et à conserver la pureté de l’âme et du corps. Que votre Cœur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui me conduise à Dieu. Accordez-moi la grâce de prier et de me sacrifier pour l’amour de Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Cœur Immaculé. Par votre médiation et en union avec le Cœur de votre Divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité, en qui je crois et j’espère, que j’adore et que j’aime. Ainsi soit-il.»

Sœur Marie Lucie de Jésus et du Cœur Immaculé (22 mars 1907 – 13 février 2005)

Prière à la Sainte Face (Sainte Thérèse)

Prière à la Sainte Face

Sainte Therese-Sainte Face

Sainte Face de Jésus – Sainte Thérèse

Ô Jésus, qui dans votre cruelle Passion êtes devenu « l’opprobre des hommes et l’homme des douleurs », je vénère votre divin visage, sur lequel brillaient la beauté et la douceur de la divinité, maintenant devenu pour moi comme le visage d’un ’’lépreux’’ !

Mais sous ses traits défigurés, je reconnais votre amour infini et je me consume du désir de vous aimer et de vous faire aimer de tous les hommes.

Les larmes qui coulèrent si abondamment de vos yeux m’apparaissent comme des perles précieuses que j’aime à recueillir, afin d’acheter avec leur valeur infinie les âmes des pauvres pêcheurs.

Ô Jésus, dont le visage est la seule beauté qui ravit mon coeur, j’accepte de ne pas voir ici-bas, la douceur de votre regard, de ne pas sentir l’inexprimable baiser de votre bouche sainte ; mais je vous supplie d’imprimer en moi votre divine ressemblance, de m’embraser de votre amour, afin qu’il me consume rapidement et que j’arrive bientôt à voir votre glorieux visage dans le Ciel.

Amen

Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face (2 janvier 1873 – 30 septembre 1897)